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669. (1867) Nouveaux lundis. Tome VIII « Catinat (suite et fin.) »

Ce qui me donne le plus grand déplaisir dans ces tristes conjonctures, c’est que j’en connais les grandes conséquences pour les affaires générales de l’État ; la perte de mes biens me laisserait plus de force à m’en consoler. […] Adieu, mon cher frère ; c’est vous en dire assez sur ce sujet triste. » Il écrivait encore à son frère le lendemain 23, après avoir vu le nouveau général arrivé de la veille au soir : « Je vous ai déjà écrit, par l’ordinaire, sur l’arrivée de M. le maréchal de Villeroy ; je vous répéterai que je m’y mettrai jusqu’au cou pour contribuer au rétablissement de la réputation des armées des deux couronnes en Italie.

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