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516. (1894) La bataille littéraire. Sixième série (1891-1892) pp. 1-368

Quand leur agitation s’arrête d’elle-même, parce que leur pensée ne la suit plus, partie ailleurs, leur dos aussi devient triste, leurs petites mains sont très tristes. […] M. de Francœur aussi se sentait triste, triste, et pacifié, devant ce beau soleil mourant ; et le silence des Fabvier demeurait plein d’éloquence. […] le triste amour, la vilaine tendresse, les grossiers baisers que t’apporterait celle qui ne saurait pas tout cela. […]   Peut-être, un jour que la mort nous tâtera, que la maladie avant-courrière et fourrière nous tiendra fiévreux et douloureux et peut-être miséreux et solitaires, les reverrons-nous, non sans attendrissement et une sorte de triste — ô bien triste !  […] Je me sens quelquefois triste à crever.

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