Ce soir, au Cirque, je suis frappé de la physionomie de la jeunesse française, de son aspect concentré, triste, rogue. […] Il y a quelque chose de triste chez l’homme arrivé à la somme de notoriété, qu’un littérateur peut acquérir de son vivant. […] À propos de cette triste habitation, une jolie histoire.