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462. (1891) Journal des Goncourt. Tome V (1872-1877) « Année 1877 » pp. 308-348

Ce soir, au Cirque, je suis frappé de la physionomie de la jeunesse française, de son aspect concentré, triste, rogue. […] Il y a quelque chose de triste chez l’homme arrivé à la somme de notoriété, qu’un littérateur peut acquérir de son vivant. […] À propos de cette triste habitation, une jolie histoire.

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