Quand je compte mes ans, Titon n’est pas plus vieux ; Je vois déjà pour moi s’ouvrir le sombre Empire ; Toutefois votre cœur de mon ame soupire, Vous en faites la triste & vous plaignez des Cieux.
Quand je compte mes ans, Titon n’est pas plus vieux ; Je vois déjà pour moi s’ouvrir le sombre Empire ; Toutefois votre cœur de mon ame soupire, Vous en faites la triste & vous plaignez des Cieux.