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325. (1912) Chateaubriand pp. 1-344

Et il est l’inventeur d’une nouvelle façon d’être triste. […] Il a été triste, oui ; mais être triste, c’est tout autre chose : c’est même, pour lui, presque le contraire. […] Il revient à Londres, de plus en plus triste. […] Quel songe n’est point sorti de ce cœur si triste ?  […] Et il faut lire tour à tour les récits de Jean-Jacques et les récits de René, selon qu’on veut être douloureusement triste, ou triste avec volupté.

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