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252. (1865) Causeries du lundi. Tome VI (3e éd.) « Boileau. » pp. 494-513

Mais à voir l’ensemble, comme on sent bien que ce personnage vivant était le contraire du triste et du sombre, et point du tout ennuyeux ! […] Enfin comme troisième période, après une interruption de plusieurs années, sous prétexte de sa place d’historiographe et pour cause de maladie, d’extinction de voix physique et poétique, Boileau fait en poésie une rentrée modérément heureuse, mais non pas si déplorable qu’on l’a bien voulu dire, par les deux derniers chants du Lutrin, par ses dernières Épîtres, par ses dernières Satires, l’Amour de Dieu et la triste Équivoque comme terme. […] C’est assez de ces anecdotes pour montrer que le sujet de Despréaux n’est pas si triste ni si uniformément grave qu’on le croirait.

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