V Sur l’œuvre de Taine Mon cher Bélugou, C’est un formidable travail que vous me demandez là. […] On se laisse aller par je ne sais quelle lâcheté de conversation, pour ne pas paraître dédaigneux, pour n’avoir pas à expliquer les bonnes raisons de son dédain (et puis aussi parce qu’on n’a pas le droit d’être sévère quand on a senti soi-même la difficulté de réaliser le moindre travail), on se laisse aller à traiter de grands esprits douze médiocres et vingt-six bêtas, et l’on chicanerait la gloire légitime de Taine !