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455. (1857) Causeries du samedi. Deuxième série des Causeries littéraires pp. 1-402

Ce trait seul suffirait pour nous indiquer ce qu’il faut penser de la fécondité, de la vérité et de la variété de M. de Balzac. […] Comment n’a-t-il pas compris que le trait final et charmant, c’est moi, ne le dis pas ! […] Cette supériorité est d’autant plus digne de remarque qu’elle nous amène à découvrir un des traits les plus touchants du talent et du livre de M.  […] Par quel trait ces épreuves et ces périls du christianisme, auxquels eût succombé une institution humaine, marquent-ils sa divinité ? […] Cousin a aimé ces femmes charmantes dont il ranime les traits et raconte l’histoire, c’est tout simplement dire que M. 

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