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338. (1874) Premiers lundis. Tome II « Étienne Jay. Réception à l’Académie française. »

Jay n’a nullement reculé devant la tâche obligatoire : il a pris M. de Montesquiou depuis son entrée sur la scène politique jusqu’à sa mort ; il a encadré, entre l’apparition et le décès de M. de Montesquiou, toute notre révolution, se rejetant, quand la vie du héros faisait faute, sur Castor et Pollux, sur la Convention et sur l’Empire, lançant son petit trait au passage contre les passions sinistres et contre la manie des conquêtes, manie qui n’est guère contagieuse apparemment. […] Ce mot de M. de Montesquiou a paru au public le trait le plus piquant peut-être du discours de M. 

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