Le lassat’ ogni speranza est comparable au plus grand trait de l’enfer de Virgile. […] Lorsqu’enfin l’heureux Lancelot cueille le baiser désiré, alors celui qui ne me sera plus ravi colla sur ma bouche ses lèvres tremblantes, et nous laissâmes échapper le livre par qui nous fut révélé le mystère de l’amour86. » Quelle simplicité admirable dans le récit de Françoise, quelle délicatesse dans le trait qui le termine !