Janin, qui intervient à chaque moment en tiers avec ses amoureux, relève ces riens par de jolis traits, par des fraîcheurs de plume comme il en a volontiers : un sang rose à la joue, une goutte de rosée au front, un rire étincelant, l’élan naturel et le découplé de la jeunesse. […] Il y a des traits sentis et bien frappés dans ces pages, où est étalée la hideuse vieillesse de ce roi.