Il eut les premiers penchants très littéraires ; il composa des tragédies qu’il montra au comédien Lanoue. L’une de ces tragédies était un Clotaire où l’on voyait un maire du palais massacré par le peuple : on l’a du moins raconté ainsi depuis. Lanoue eut la franchise de conseiller au jeune homme de garder ses tragédies en portefeuille, et Bailly, qui s’appliquait déjà aux mathématiques, tourna bientôt décidément du côté des sciences.