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27. (1886) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Deuxième série « M. Deschanel et le romantisme de Racine »

, il ne restait que la tragédie toute pure. […] Deschanel les démêle dans chaque tragédie avec une extrême finesse. […] Dire que telle tragédie de Racine est une comédie, c’est aussi vrai que de dire que telle comédie de Molière est une tragédie. […] Serait-ce point qu’Athalie est une tragédie cléricale ? […] A ce compte, la tragédie serait un genre radicalement faux.

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