Ce n’est pas chose indifférente de savoir que Corneille pour ses tragédies puisa surtout dans l’histoire romaine et que Racine tira la plupart de ses pièces de la légende grecque ou de la Bible qu’Augustin Thierry s’enferma dans le moyen âge ; que Zola n’est pas sorti des mœurs contemporaines. […] Est-elle courte, simple, violente, réduite à une crise rapide, comme c’est le cas dans nos tragédies classiques ? […] Un peu de patience suffit pour relever le nombre de mots que contient une tragédie.