La « mécanique » dans la tragédie cornélienne. […] Puis il créa la tragédie vraie, à laquelle il se tint. […] Il y a deux éléments, en effet, dans l’héroïsme romain des tragédies cornéliennes : l’un, banal et historique, l’autre original et psychologique. […] Tout le mécanisme moral de la tragédie se déduit de la définition cartésienne et cornélienne de l’amour. […] Dans aucune tragédie romaine de Corneille, il n’y a la moitié de la couleur qu’on trouve dans Britannicus.