La structure de la tragédie est simple et forte : donc le nœud de la comédie doit être lâche ou embrouillé. La tragédie est rapide dans sa marche, et va droit au but : donc la comédie doit être pleine de digressions et de hors-d’œuvre. […] La comédie, dit-il, n’est pas le contraire de la tragédie. […] La métaphysique hégélienne de la tragédie est magnifique sans doute ; c’est peut-être la métaphysique de la tragédie grecque ; mais ce n’est point celle de la tragédie en soi. […] Il voit jusque dans les plastiques tragédies d’Eschyle, la lutte de l’esprit et de la chair.