« Un cheval blanc, dit M. de Fezensac, que nous montions à poil les uns après les autres, nous fut d’un grand secours. » Ce cheval blanc que chacun monte à poil à son tour est le dernier trait du tableau, et il le faut opposer à cet autre spectacle de 500 000 hommes franchissant orgueilleusement le Niémen six mois auparavant. […] la fortune change : elle craint à son tour ; elle presse sa fuite à travers les bois et les neiges.