L’époux doit la soulever dans ses bras, et la porter par-dessus le seuil sans que ses pieds le touchent. […] Tout ce qui touche à cette perpétuité, qui est son premier soin et son premier devoir, dépend de lui seul. […] Nul ne pourra y toucher, même pour les réparer, sans la permission des pontifes. […] Toutes ces choses étaient marquées dans les rituels parce que toutes ces choses touchaient à la religion. […] Comme l’adoption touchait à la religion, elle ne pouvait se faire qu’avec l’assentiment du pontife.