Chacun d’eux s’étonne qu’on n’habite pas Rome à jamais quand on y a une fois touché ; chacun, dans cette masse diverse, se creuse sa Rome à lui, sa catacombe, et ne voit qu’elle, et n’est troublé par rien alentour dans ce grand silence.
Chacun d’eux s’étonne qu’on n’habite pas Rome à jamais quand on y a une fois touché ; chacun, dans cette masse diverse, se creuse sa Rome à lui, sa catacombe, et ne voit qu’elle, et n’est troublé par rien alentour dans ce grand silence.