Il ne pouvait, nous dit-il, même plus toucher à une viande ni un gâteau ! […] Et le verre n’a pas servi, le pain n’a pas été touché, un blanc de poulet refroidit au milieu de l’assiette. […] Et quand même, ces qualités ne me touchent pas de si près. […] Veux-tu toucher le but, regarder l’invisible, L’innommé, l’idéal, le réel, l’inouï ? […] » est le dernier mot de la lettre, un véritable petit tableau fait de nuances d’une extrême délicatesse de touche.