Je pourrais citer d’autres exemples, non en grand nombre toutefois ; car saint Bernard ne touche que rarement à la vie, à l’homme non théologique. […] On dirait que l’esprit français a été touché, et qu’il répond. […] » Il a su en effet toucher les cœurs, sans affaiblir le dogme ; il a fait la part de la religion et celle de la théologie.