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442. (1902) L’observation médicale chez les écrivains naturalistes « Chapitre IV »

Ces malheureux, abandonnés des médecins et même de leur entourage le plus immédiat, traités en somme comme les lépreux du moyen-âge, allaient se faire toucher par un marabout, sorte d’exorcisme qui chassait le venin maudit. […] J’ai eu, du reste, toujours beaucoup de goût pour tout ce qui touche à la médecine. […] Le vaste monde est ouvert, il n’est pas de sujet qu’il ne puisse aborder, et il devra dès lors s’occuper d’histoire, de philosophie, de sciences ; il touchera à tous les métiers, il examinera toutes les professions.

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