. — La Pierre de touche, cinq actes, avec Jules Sandeau (1854). — Le Gendre de M. […] Le premier avait éclaté, irrésistible, avec la Ciguë ; il nous a donné coup sur coup l’Aventurière, Gabrielle, Philiberte ; il a fini par la Pierre de touche, ayant eu cependant encore, depuis la Pierre de touche, deux belles explosions de la nature primitive : la Jeunesse et Paul Forestier. Sauf dans la Pierre de touche, le premier Augier a pris la langue des vers pour instrument comme l’autre la prose.