Ô Sémiramis, le plaisir des armes ne te touche plus, tu as cessé d’être toi-même. […] Parle et répond par sa bouche, Par ses mains les mains il touche, N’espargnant hommes ni dieux. […] Avouons maintenant qu’il se rencontre dans Shakespeare, dans quelques Espagnols, et dans Racine même deux ou trois fois, de pareilles « extravagances » et qui, à force de génie, touchent au sublime. […] Puis, un jour, il se mit à parler de l’antiquité d’un ton d’oracle… L’affaire de ces deux critiques a conservé son intérêt, car elle touche à des points qui dépassent la question immédiate. […] Mais, en quelque sorte, les hommes se fient à leur toucher ; et ils aiment à vivre dans une belle sécurité, une fausseté au jour le jour.