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497. (1886) Le roman russe pp. -351

La fusion nationale s’ébaucha, comme toujours, sur les champs de bataille où l’on tombait côte à côte devant l’envahisseur. […] Je me la rappelle en voyant que ces petites perles, tombées dans une prose étrangère, y paraissent mortes et n’ont plus d’orient. […] Montée à ce paroxysme, la fièvre byronienne devait tomber ; la poésie surmenée va languir et déchoir. […] On décréta qu’il était tombé dans le mysticisme, on l’enterra sous ce mot. […] » — Espérons que ce vœu sera entendu par le seul écrivain digne de ramasser la plume tombée de ces vaillantes mains.

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