On est froissé du peu de gravité, du peu de tenue, du peu comme il faut, qui préside à ce travail, et qu’on fait avec des titres spirituels, comme si on voulait faire de la copie pour Le Figaro… Nefftzer apporte toujours le même noir ironique, le même doute à l’endroit de ce qu’on pourra faire pour se sauver.