Zola, est donc, au fond, un livre de désespéré, et son titre n’en dirait pas la portée si l’auteur ne l’avait pas souligné avec une épigraphe qui étonne et peut-être avertit… Le croirait-on ?
Zola, est donc, au fond, un livre de désespéré, et son titre n’en dirait pas la portée si l’auteur ne l’avait pas souligné avec une épigraphe qui étonne et peut-être avertit… Le croirait-on ?