Les contes où « il a peur » comme le Horla et une demi-douzaine d’autres dont les titres m’échappent n’étaient point des fantaisies ; non plus que, dans Bel Ami, la description du détraquement lent d’un cerveau par l’idée ininterrompue de la mort.
Les contes où « il a peur » comme le Horla et une demi-douzaine d’autres dont les titres m’échappent n’étaient point des fantaisies ; non plus que, dans Bel Ami, la description du détraquement lent d’un cerveau par l’idée ininterrompue de la mort.