Il décerne à un de ses personnages le titre significatif de « lettré d’art ». […] Ce titre « d’écrivain de génie » ne lui est même pas refusé par le plus furieux ennemi qu’il ait eu parmi les laïcs, Joseph de Maistre. […] Mais les Mélanges, on se garde bien de les réimprimer et d’en parler ; on n’en cite même pas les titres ; on fait comme s’ils n’existaient pas. […] Beecher-Stowe, qui les publia, en 1869, sous le titre de Lady Byron vengée. […] Il s’est bien gardé de cet exclusivisme scolastique qui n’accorde qu’aux spécialistes hérissés le titre de philosophe.