Aussitôt qu’il fut rendu à la vie, il en instruisit ainsi, par une lettre, l’auteur de l’Akakia : « Je vous déclare que ma santé est assez bonne pour vous venir trouver partout où vous serez, pour tirer de vous la vengeance la plus complette. […] celui d’avoir entre les mains un écrit, qui n’étoit pas un contrat, mais un pur effet de la volonté du roi de Prusse, ne tirant à aucune conséquence a, & un livre de poësies de ce même prince, qui, après en avoir fait tirer quelques exemplaires & les avoir distribués à différentes personnes, du nombre desquelles étoit M. de Voltaire, avoit ordonné qu’on brisât la planche.