Elle nous tire enfin, par quelque chose de véritablement important et d’élevé, de la littérature croupissante, — de la crapaudière envahissante du naturalisme contemporain. […] II Or, en quelques mots, voici cette histoire dont Edouard Drumont a tiré un parti charmant, mais trop doux… Le duc de Saint-Simon mourait en 1755, insolvable et probablement ruiné par son ambassade d’Espagne, qu’il avait menée avec cette grandeur désintéressée et ce luxe que notre siècle, peu accoutumé à ces généreux spectacles, a pu admirer quand le duc de Northumberland vint, comme ambassadeur d’Angleterre, au sacre du roi Charles X. […] Saint-Simon, avec tout son génie qui ne le dispensait pas d’avoir de l’âme, s’en tirera maintenant comme il le pourra !