L’éditeur, c’est naturellement Madame Lenormant, l’auteur des Mémoires de Madame Récamier, qui n’a jamais eu de Mémoires, mais une nièce qui tira parti de ses petits papiers de famille et qui veut qu’on sache, la bonne nièce ! […] Il redevint le vaniteux et le dandy lassé qu’avait été Adolphe et qu’il fut toujours, même à ses dernières heures, quand il traînait à Frascati ses délabrements sur des béquilles, même dans le fauteuil où il s’assit avec tant de grâce intrépide pour tirer et recevoir le coup de pistolet de son dernier duel.