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481. (1889) Histoire de la littérature française. Tome IV (16e éd.) « Chapitre douzième »

Le manque de divisions et de repos123 en rend la lecture difficile ; les raisons s’y traînent au lieu de s’enchaîner ; l’ingénieux y tire à l’énigme, outre je ne sais quelle incertitude qui se trahit dans toutes les opinions morales et littéraires d’un homme qui ne croyait au fond qu’à la géométrie124. […] Ils apprennent à nager, moins pour se tirer eux- mêmes de péril que pour porter secours à ceux qui se noient. On les exerce, en septembre, au maniement des armes à feu et aux manœuvres de la tactique des Grecs ; on les fait dormir sur l’herbe, « à l’ombre des forêts. » Les maîtres des Écoles de la patrie ne prennent pas la qualification de maîtres ni de docteurs, comme dure et orgueilleuse ; leurs noms, tirés du grec, signifient les amis de l’enfance, les pères de la patrie. […] Ces quelques pages auraient suffi pour tirer Chateaubriand du second rang.

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