Je le tire des Lettres sur les contes de fées (1826), adressées à une femme dont l’auteur avait été l’ami d’enfance. […] Walckenaer, laborieux, infatigable, occupé de bien des recherches à la fois, amassait des notes sur chaque sujet, mais il n’en tirait point parti à l’instant même. […] Un jour, il tira un manuscrit de sa poche et dit à Michallet : « Voulez-vous imprimer ceci (c’était les Caractères) ?