On peut cependant tirer quelque fruit de la lecture de ces ouvrages : le David surtout mérite d’être parcouru. […] On a de la peine à concevoir comment un homme du génie du Camoëns n’en a pas su tirer un plus grand parti. […] Malheureusement il est gâté par cette teinte doucereuse de l’idylle, que les Allemands répandent presque toujours sur les sujets tirés de l’Écriture.