C’est encore la Grèce qui nous fournit le théâtre de cette évolution, dans son cours le plus rationnel, et de façon que l’on en tire plus facilement les lois et la formule générale. […] La Vision d’Hébal, le plus étonnant des ouvrages de Ballanche, a été tirée à un petit nombre d’exemplaires, distribués par l’auteur. […] De là naît un autre ordre de sciences, qui, avec les connaissances que l’homme tire directement du monde physique, constitue la science en général. […] Tout objet dont il est impossible de tirer une beauté est exclu de la poésie. […] Or la science réside dans ces principes ; les applications les plus ingénieuses et les plus utiles qu’on en tire constituent un monde différent, un monde subalterne.