Molière, sans songer précisément à la politique, en avait sans doute tiré des jours profonds pour la peinture morale de l’espèce, pour sa comédie dont le rire inextinguible ne saurait faire oublier les sanglantes morsures et les perpétuelles insultes à la guenille humaine. […] Au reste, je le répète, le germe de cette pensée est dans Tertullien que Bossuet lisait beaucoup et dont il a tiré plus d’une pensée saillante ou d’une image.