Les théâtres, les librairies, les journaux nous sont ouverts. […] Louis Bouilhet s’éloignait rarement du théâtre. […] — Je vous l’ai dit, je m’appelle Glatigny, je viens du théâtre de Bastia. […] — J’y suis venu il y a un mois avec la troupe du théâtre de Bastia. […] Chef des chœurs au théâtre des Variétés, il mit des notes sous ces paroles : Dansons, dansons Le joyeux rigodon, et, la chose faite, on le chassa du théâtre, sous le prétexte qu’il ne savait pas la musique.