À l’heure qu’il est, on ne jouerait Shakespeare sur aucun théâtre anglais sans effacer dans le texte le mot Dieu partout où il se trouve. […] serait un blasphème ; une dévote espagnole sur le théâtre anglais est tenue de s’écrier : doux Jupiter ! […] Toute confiance est due au comité du Jubilé de Shakespeare, comité composé de personnes hautement distinguées dans la presse, la pairie, la littérature, le théâtre et l’église. […] Chose digne de remarque, notre théâtre moderne a dû subir, sous les ciseaux de la censure des Bourbons, les mêmes mutilations cagotes auxquelles la censure des Stuarts condamnait le théâtre de Shakespeare.