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311. (1857) Cours familier de littérature. III « XIVe entretien. Racine. — Athalie (suite) » pp. 81-159

L’art, et le mécanisme, et le coup de théâtre, et la brièveté laconique qui concentre une situation dans un mot, me manquaient. Le théâtre parle et ne chante pas assez pour moi. […] Mais, si vous vous destinez au théâtre, venez souvent me voir à Brunoy ; nous ferons la poétique de ce temps-ci à l’ombre de mes allées. […] L’Opéra n’était plus un théâtre ; c’était un sanctuaire : Racine et Talma l’avaient purifié. […] Il n’y a point de parallèle, selon nous, possible entre Athalie et aucun des drames antiques ou modernes d’aucun théâtre profane.

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