Un jour, Victor Hugo, se regardant dans le miroir grossissant qui est le sien, avait écrit de sa plume la plus métallique et la plus sonore : « Le théâtre, nous le répétons, est une chose qui enseigne et qui civilise. Dans nos temps de doute et de curiosité, le théâtre est devenu pour les multitudes ce qu’était l’Église au Moyen-Âge : le lieu attrayant et central. […] « Le théâtre (renchérit donc Vacquerie), c’est le Golgotha de l’idée ! […] Le drame en est le mot écrit. » Et, comme le grimacier n’est jamais très loin de son théâtre et de ses habituelles préoccupations : « La tragédie — dit-il — est le nez du théâtre et le drame en est la figure. » Il y a un mot qu’on a rappelé immensément et qui est à l’état de légende incertaine dans les lettres.