/ 1617
11. (1888) Préfaces et manifestes littéraires « Théâtre » pp. 83-168

Devant cet intérêt de la presse, la situation du théâtre, celle des deux auteurs, M.  […] Et pour moi une langue nouvelle, c’est presque l’unique renouvellement dont est susceptible le théâtre. […] Le théâtre, pour moi, me semble le grand art des civilisations primitives. Ainsi, du temps d’Eschyle, de Sophocle, d’Euripide, le théâtre est toute la littérature de la nation. […] regardant et jugeant ce qui se passe, le théâtre m’apparaît comme bien malade, comme moribond presque.

/ 1617