Ils se disent que, comme les compagnons de François, ils poursuivent eux aussi, mais sur terre et douloureusement, un infini de joie. […] D’ailleurs, par l’opinion qu’il a lui-même de ce monde, un bon nihiliste comprend aisément bien que, pour son compte, il s’en abstienne que l’homme place au-delà de la terre sa raison de vivre et son « idéal ».