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869. (1886) Le naturalisme

À leur côté bondit une chèvre, et la panetière est par terre, avec la houlette, et les outres pleines de lait frais. […] Que de veilles, que d’heures de doute fébriles pour l’auteur qui sent peser sur son âme l’obscurité de son nom, comme en hiver la terre pèse sur le germe ! […] Comme lui, il ouvre peu à peu le sol et on voit l’effort, de son opiniâtreté quand il remue profondément la terre en arrachant les pierres et les obstacles. […] Les noirs, les terres de Sienne, les bitumes dont Fernan ne fit, lui-même, usage qu’avec une extrême mesure, manquent complètement. […] Il a rompu à la fois avec le pittoresque et avec les héros-symboles, pour s’attacher à la terre sur laquelle nous sommes.

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