À l’époque de Jésus, le ciel n’était pas fermé, ni la terre refroidie. […] Heureux les débonnaires ; car ils posséderont la terre ! […] Et quant au luxe des vêtements, comment rivaliser avec celui que Dieu a donné à la terre et aux oiseaux du ciel ? […] Il n’y a de fleurs, d’herbe, d’ombrage que pour celui qui possède la terre. […] Par une existence douce, réglée, contemplative, laissant sa part à la liberté de l’individu, ces petites églises croyaient inaugurer sur la terre le royaume céleste.