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3044. (1886) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Deuxième série « M. Deschanel et le romantisme de Racine »

On dira que Racine devait tenir compte de la vieillesse de Corneille ; mais pourquoi Corneille ne tenait-il point compte de la jeunesse de Racine ? […] Phèdre est adorable, et ce n’est pas moi qui la tiens absolument innocente, mais le sévère Boileau, qui parle de sa douleur vertueuse 69 et qui la déclare « perfide et incestueuse malgré soi ».

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