Je suis forte ; tiens, regarde mes bras ; — tiens, je pourrais presque te soulever. […] si vous voulez la voir, mon camarade, il ne tient qu’à vous […] tenez ! […] Je la tenais toujours chaudement. […] Tiens, voilà du chocolat pour toi, mon enfant.
Je suis forte ; tiens, regarde mes bras ; — tiens, je pourrais presque te soulever. […] si vous voulez la voir, mon camarade, il ne tient qu’à vous […] tenez ! […] Je la tenais toujours chaudement. […] Tiens, voilà du chocolat pour toi, mon enfant.