C’était un mystique au cœur tendre et à l’imagination fleurie. […] Racine lui écrira d’Uzès, en 1661 et 1662, des lettres d’une galanterie respectueuse et tendre, semées de petits vers. […] un amour timide et irréprochable, mais encore assez vif et tendre. […] Ce sujet terrible, s’il ne l’a pas choisi, le tendre jeune homme l’a accepté pourtant. […] Et c’est Tite qui est tendre, faible, incertain.