Ce gracieux recueil se peut relire quand on aime la douce poésie et qu’on est en veine tendre ; mais je cherche vainement à en rien détacher ici pour le faire saillir. […] Cousin prononça sur sa tombe quelques paroles pleines de douleur, bien qu’un peu dramatiques, dans lesquelles il s’écriait : Noble esprit, âme tendre, jeune sage ! […] Aussi elle a laissé trace plus qu’on ne croirait en des esprits sérieux et qui ne sont pas tendres à toute poésie.