Par-tout une poésie noble, tendre, harmonieuse, toujours conforme aux regles du langage & de la versification, présente des charmes aussi séduisans pour l’oreille, qu’ils l’ont été pour le cœur. […] On pourroit faire la même remarque pour les Arts, qui ont eu le tendre & le moëlleux, après le vigoureux & le sublime.